123 research outputs found

    ERP PROJECT IN SMES: A MATTER OF RISKS, A MATTER OF COMPETENCIES. A QUANTITATIVE ANALYSIS

    Get PDF
    The paper proposes to assess the salient topics related to ERP systems implementation in the context of small firms: do the risks occurrence and the competencies used during the project influence the success of the ERP project in SMEs? A survey investigated the IT policy of 2000 representative SMEs. The results are analyzed from a final sample of 81 firms which effectively adopted an ERP. Multiple projects patterns are observed, but no \u27one best way\u27 is found: no specific modality offers a higher rate of success for the project. Among external supports, the integrator appears to play a key role in the resolution of operational difficulties. Although the projects may encounter multiple risks, they are ? most of the time - not allowed to fail. This quantitative analysis offers a first confirmation and generalization of the existing case studies on ERP projects in SMEs

    Beyond cross-functional teams: knowledge integration during organizational projects and the role of social capital

    Get PDF
    Large organizational projects must integrate the specific and dispersed knowledge of many individuals and groups to succeed. Thus, frequent exchanges between the project team and the organization's members are required. In this context, understanding of the knowledge integration process during cross-functional projects can be enhanced through the conceptual framework of social capital. A qualitative investigation of a French small firm conceptualizes knowledge integration as a three-phase model: collection, interpretation, and assimilation. The case shows that the integration process is cyclical with overlaps and inter-dependencies among the phases. This study leads to refinement of the social capital role in knowledge integration and reveals the dynamics of internal and external facets of social capital. That is, internal and external social capital play differentiated roles depending on the three phases of the knowledge integration process. Finally, the study reveals the co-evolution of social capital and knowledge integration as a resulting long-term effect

    Technologies numériques vertes : représentations et stratégies d'acteurs

    No full text
    International audienceL’article analyse les difficultés des acteurs socio-économiques à définir le caractère écologique des Technologies Numériques de l’Information et de la Communication. Ces difficultés s’expliquent par l’hétérogénéité des registres argumentaires mobilisés. En résultent des reports de responsabilité entre acteurs, et donc une faible mobilisation autour des effets environnementaux des systèmes techniques actuels

    Projet Ecotic. Rapport final. Technologies numériques et crise environnementale : peut-on croire aux TIC vertes ?

    No full text
    La prise de conscience d’une crise environnementale majeure ainsi que la numérisation croissante denos modes de vie constituent deux éléments saillants des transformations actuelles de notre société.Notre étude a pour objectif de mieux comprendre la nature du lien entre ces deux facettes de notresociété et questionne les enjeux écologiques des technologies numériques de l’information et de lacommunication (TNIC).Le terme de « Green IT » ou « TIC vertes » commence à se diffuser, afin d’affirmer le potentielécologique de ces technologies ou, au contraire, d’en souligner le caractère usurpateur. La productionet l’usage des TIC participent-ils à rendre notre société plus écologique ou bien génèrent-il despollutions et des « effets rebonds » qui pourraient bien faire plus qu’annuler les bénéficesescomptés ? Notre étude vise à dresser un tableau de la réalité des TIC vertes et pose la question :peut-on croire aux « TIC vertes » ?Pour répondre à cette interrogation, notre étude s’appuie sur une approche interdisciplinaire relevant àla fois des sciences sociales (philosophie, sociologie, sciences politiques, gestion, marketing) et dessciences de l’ingénieur. La méthode de recherche mobilise conjointement une large revue de lalittérature académique et professionnelle, des entretiens avec des acteurs clés ainsi que destechniques de focus group auprès d’utilisateurs des TNIC.Dans la première partie de l’étude, un bilan des connaissances sur le domaine est réalisé. Suite à unpanorama des grands enjeux, un état des lieux est apporté sur la question environnementale en lienavec le développement des technologies numériques. Les chiffres clés sont présentés, montrantl’urgence de la question. Les méthodes d’analyse actuelles permettant d’évaluer le caractèreenvironnemental des technologies numériques sont étudiées d’un point de vue critique : centrées surles effets directs « de premier ordre » et sur le cycle de vie des technologies, ces méthodes d’analysene soulèvent généralement pas ou peu les questions sociales et sociétales qui s’imposent.La seconde partie de notre étude, plus empirique, vise à approfondir les représentations et lesengagements des acteurs socioéconomiques vis-à-vis des technologies numériques vertes. Cesinvestigations se penchent aussi bien sur les points de vue des producteurs, des distributeurs, despouvoirs publics que ceux du mouvement associatif ou des consommateurs. Nous abordons aussi leséléments quantitatifs qui sont mis en avant. Comment leurs rapports entre écologie et technologiesnumériques diffèrent, se complètent ou s’opposent-t-ils ? C’est là que réside toute la difficulté decompréhension de la notion de technologie numérique « verte ».La conclusion de l’étude apporte plusieurs réponses en soulignant les différentes priorités qui existentet le jeu de report de responsabilités qui s’opère entre acteurs. Ces résultats nous amènent à élargirle débat autour de la notion de consommation verte (consommer sa juste part de nature) etd’acception de la notion de modernité. Où la modernité ne se réduit pas à un tout numérique. (résumé exécutif
    • …
    corecore